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En vrac
Les « Mahoué inconnus »
"Inconnus" parce qu’ils ont bien existé,
mais on ne sait pas comment ils sont rattachés à "nos" Mahoué.
Trouvés par hasard dans les registres, on sait seulement d’eux que ce sont ... des Mahoué
et donc très probablement, étant donné la rareté de notre nom, des personnes de notre famille.
Tous ces Mahoué se retrouvent dans le même secteur géographique,
Mayenne (vers nord-est) et Sarthe (nord-ouest).
Les Mahoué que nous connaissons n’étaient pas de grands voyageurs.

  Le plus ancien répertorié est Pierre Mahoué qui épouse Françoise Dubreuil le 29 novembre 1599 à Douillet le Joly (72).

 Suit une fille, Françoise Mahouay (*) qui se marie avec Michel Huboust le 28 janvier 1619 à St Calais du Désert (53).

 Le troisième plus ancien est Victor Mahoué, (voir page 1 de la chronique d’Antoine Mahoué), cité aussi dans le « Dictionnaire de l’abbé Angot ».
S’il n’est pas « officiellement » le plus ancien, Victor est le plus âgé. Il est dit avoir plus de 105 ans, ce qui était très rare et le fait donc naître aux environs de 1523 (pas de registres à cette époque).  On trouve son acte de sépulture à St Martin de Connée (53) sur le site des Archives Départementales de la Mayenne :

St Martin de Connée BMS 1589-1668, vue 323/355, dernier acte page gauche.
En marge : Centénaire.
« Le 10 septembre 1628 fut ensepulturé au petit cimitiere proche
la muraille du grand chemin Victor Mahoué aagé de plus de
cent cinq ans »           Dérouez.

(*) Cette graphie est unique pour notre nom. Il a très peu varié. La graphie la plus courante, et de très loin, est celle que nous connaissons : Mahoué. Dans les actes les plus anciens on trouve des trémas sur le u (Mahoüé) marquant bien qu’il s’agit du son « oué » et non de « ové », le u et le v étant alors une seule lettre. L’accent aigü sur le e final n’est pas toujours inscrit, comme c’était le cas pour la plupart des mots accentués, mais on retrouve toutefois ce « é » dans certains des actes les plus anciens, attestant de la prononciation inchangée au cours des siècles. « Mahouet » est quasiment inexistant dans les actes très anciens. C’est une variante utilisée plus tard et un même individu peut se voir attribuer les deux orthographes selon les périodes de sa vie. C’est particulièrement fréquent au 19ème siècle.

 
Transcription du jugement de séparation en faveur d'Anne Mahoüé, femme maltraitée par son mari Pierre Frémont en 1720, à une époque où le divorce n'existait pas.

 A venir : une autre affaire judiciaire (les photos sont faites mais non encore retranscrites)
Guillaume Mahoué, domestique meunier au moulin de Cordouen à Izé (53), assassin en août 1725 de Joseph Dufour. Il était en désaccord avec le père de ce dernier, Marin Dufour, tisserand, au sujet d’une histoire de pièce de toile. La sentence n’est pas connue.  

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